Et le soleil, l'envie de partir. L'arbre des voisins n'a plus qu'une seule feuille, solitaire, salutaire. Retenir l'été, à un fil. L'automne, et son film qui passe devant mes yeux. Je deviens passif par le froid. Je ne suis pas fait pour ça.
Ca sent le froid dehors, malgré le grand soleil, les nuages épars. Je contemple ma chambre, dévastée, ou presque, d'une nuit sans lune. Des habits parterre, des livres qui s'empilent, et ces murs habillés à la va-vite de souvenirs. Le vent qui passe partout. La bibliothèque pleine à craquer. Le soleil ne réchauffe plus.
Les tasses de thé, vides, s'alignent, et les cours à réviser qui s'amoncellent. Au milieu de ce trop plein j'imagine le vide, entre toi et moi. j'imagine l'havre de paix que l'on peut se bâtir sur cette géographie variable, croulante, désespérée.
Ca sent le froid dehors, malgré le grand soleil, les nuages épars. Je contemple ma chambre, dévastée, ou presque, d'une nuit sans lune. Des habits parterre, des livres qui s'empilent, et ces murs habillés à la va-vite de souvenirs. Le vent qui passe partout. La bibliothèque pleine à craquer. Le soleil ne réchauffe plus.
Les tasses de thé, vides, s'alignent, et les cours à réviser qui s'amoncellent. Au milieu de ce trop plein j'imagine le vide, entre toi et moi. j'imagine l'havre de paix que l'on peut se bâtir sur cette géographie variable, croulante, désespérée.